Les touristes de Lauzanac ont une pêche d’enfer!

Revenons sur les vacances activent de nos touristes de l’Yonne. Voilà maintenant 15 ans que la famille de Mamie Yvette vient visiter Lauzanac chaque année au moment des vacances de Pâques. Ses petits enfants sont de fervents pêcheurs et posent leurs cannes dans le Dropt.

Cette année encore, la pêche aura été fructueuse. La preuve que notre rivière du Dropt est bien poissonneuse. Thomas et Mika ont attrapé plusieurs carpes qu’ils ont remises à l’eau, non sans avoir pris de belles photos de famille avec leurs trophées que nous sommes fiers de vous montrer.

En parlant de trophée, Flora et Karine en ont un aussi. Un peu plus gros, un peu plus remuant et avec de grandes oreilles … l’ami Peter, que vous allez découvrir sur la dernière photo en charmante compagnie.

Merci, chers amis, pour ce partage de photos et bravo pour les prises. Sachez que vous êtes célèbres aussi dans le village voisin. Ah, et la photographe que l’on ne voit jamais s’appelle Annie 😉

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Quand les touristes trouvent un essaim d’abeille …

Ils ne seront restés qu’une petite semaine, mais ils en auront fait des choses nos touristes fidèles de 15 ans. Les enfants et petit-enfants de Mamie Yvette sont des amoureux de la campagne. Les filles ont des chevaux. Flora rêve même d’ouvrir une pension équine et peut-être même dans notre région. Quant aux garçons, ils sont fana de pêche. Mais nous reviendront sur les prises de la semaine dans un autre article.

Non, ici, il est question d’une aventure qui leur est arrivée alors qu’ils pêchaient justement. Thomas et Mika ont entendu un bourdonnement et se sont retrouvés au milieu d’un essaim d’abeille. Quand Éric et Charles les ont rejoints quelques minutes plus tard, tout semblait étrangement revenu dans l’ordre. Ils ont compris ce qui s’était passé en revenant vers le gîte. L’essaim s’était agglutiné sur un piquet de la clôture au bord de la route.

Quand il nous ont raconté l’histoire, nous avons décidé d’appeler un apiculteur. C’est un monsieur dont nous ne connaissons pas le nom, une connaissance d’une connaissance, qui est arrivé de Lauzun le lendemain pour poser sa ruche. En moins d’1 heure, les abeilles se sont déplacées dans la boite. Elles ont suivi leur reine bien sûr. Vous le verrez sur les photos, la colonie semblait peu importante. Ce monsieur nous a pourtant dit qu’il venait de piéger un essaim d’environ 60 000 abeilles. Une belle prise donc pour un apiculteur amateur.

Nous avons tous assisté à la fin du piégeage et posé beaucoup de questions qui ont toutes reçues une réponse. Merci beaucoup à monsieur X que nous reverrons peut-être un de ces jours dans la région. Et merci aussi à nos gentils touristes d’avoir porté autant d’intérêt à cet événement de la nature.

Beaucoup de photos. Les premières ont été prises en fin de journée. Il y avait une belle lumière sur l’essaim. Et les abeilles étaient très belles. J’ai un peu exagéré… Les dernières sont celles du piégeage et des spectateurs.

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Une brebis et un jars arrivés sur la Ferme de Lauzanac

Diesel, c’est son nom de scène mais dans l’intimité, ses anciens propriétaires l’appelaient Fifille. Comme elle semble mieux répondre à ce nom là, c’est celui que nous avons adopté.

La brebis Fifille donc, vient d’arriver sur la Ferme de Lauzanac. Accompagnée de Sabine et Patrick pour un déménagement en douceur. Et parce que pour Sabine, c’était un peu dur de la voir partir. Mais tout va bien. Fifille est très proche de Hary, le mouton. Peut-être pourrons-nous écrire bientôt: « Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants? ».

Quelques jours après l’arrivée de Fifille la brebis, nous voyons débarquer Célestin, le jars!

Célestin, c’est le nom que Dino, du village voisin avait donné à ce jars qu’il a abandonné au lac de l’Escourou il y a quelques mois. Abandonné à regrets parce qu’il était caractériel et tuait ses poules. On peut comprendre.

Mais Célestin, dont l’instinct de survie est très développé, s’était envolé pour élire domicile dans une mare près de chez nous. Depuis cette mare, il visitait la ferme d’à côté et se permettait de manger au râtelier des volailles jusqu’à ce que là aussi, il en viennent à les attaquer.

Excédés, Agnès, Jean-Pierre et Constance l’ont attrapé – très facilement d’ailleurs parce que Célestin, agressif avec les gallinacées adore les caresses des humains – et l’ont mis dans notre parc avec les chèvres, les moutons et Elsa la cochonne. Il fût méfiant les premières journées mais se rapprochent maintenant des chèvres. Toujours aussi communicatif, il vient près de la clôture pour discuter dès qu’il nous entend devant la porte.

Voilà donc les deux nouvelles recrues de la Ferme de Lauzanac que les plus jeunes ne manqueront pas de venir admirer. Et un grand merci à nos amis pour avoir enrichi le parc animalier.

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Avec le printemps, la mise à l’herbe

Bien que le climat change chaque année, la vie à la ferme de Lauzanac, comme dans les autres fermes, est réglée sur le changement des saisons. Avec le printemps qui pointe le bout de son nez et des températures un peu plus clémentes, nous décidons de sortir une partie du troupeau. Les adultes sans veau, les génisses et bien sûr, le géniteur qui est un nouveau venu. Marlou, c’est son nom. Il est blanc et roule des mécaniques comme vous le verrez sur la photo.

Voilà pour les animaux qui vont de l’étable au pré directement.

La seconde étape, c’est la sortie des génisses trop jeunes pour être mises en présence du mâle. Elles sont 10 que nous avons embarquées en deux voyages dans la bétaillère vers les prés de Mamie Francine en Lot-et-Garonne. Cela doit vous paraître un grand voyage puisque nous passons la frontière du 24 au 47, mais il n’y a en fait qu’un petit kilomètre. Nous avons eu le plaisir d’accueillir à bord du tracteur, nos gentils Australiens Robyn et Sam et leurs deux bambins, Daisy et Lincoln. Ils sont toujours très curieux de cette nouvelle vie qu’ils découvrent.

La prochaine étape sera, très rapidement nous l’espérons, la sortie des petits et de leurs mères. Nous attendons impatiemment que la température remonte.

Les photos? Allez, c’est parti. On y voit l’excitation des bêtes qui retrouvent la liberté. Elles sont maladroites au début pour se déplacer ce qui est normal après tant de mois passés à l’attache. Elles se mesurent du regard et se bousculent. Le terre-plein devant le passage est très rapidement piétiné et la terre vole. Il faut trouver UNE chef. Marlou est le roi c’est certain mais dans le harem, il doit y en avoir une seule qui prend les décisions. Les plus jeunes sont craintives et ne feront pas la loi. Elles sont au départ, plus à l’aise près de nous. Il faudra deux jours pour que chacune trouve sa place et que le calme revienne…

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Une naissance filmée par nos touristes de l’hiver

La Ferme de Lauzanac vous accueille avec deux gîtes et chacun leur piscine privée. Située sur la commune d’Eymet en Dordogne, dans un écrin de verdure adossée à la colline …

Avec l’arrivée du printemps, c’est aussi le temps des naissances. Nous avons la chance d’avoir en ce moment une famille d’Australiens qui s’intéressent à la ferme. Robyn et Sam ont voulu faire partager cet événement à leurs enfants Daisy et Lincoln, 6 et 7 ans. Robyn a même filmé. C’est avec grand plaisir que nous partageons cette vidéo.

Parents, ces images pourraient choquer la sensibilité de vos enfants. Regardez avant pour prendre la décision de leur montrer ou pas.

Baptisée LAURA par ces deux enfants, la velle et sa maman se portent bien. Encore quelques semaines et elles partiront gambader dans les prés. Vous les verrez si vous venez cet été dans un de nos gîtes …

Du progrès à la Ferme de Lauzanac

Généralement, nous profitons de l’hiver pour apprendre à utiliser la foultitude d’outils fournis par Internet. Aujourd’hui, création et utilisation de Google + Local avec l’aide de Marie-Pierre de l’Office de Tourisme de Bergerac.

En fait, sur la Ferme de Lauzanac, on essaie tout, on crée à tout va et puis, on oublie et rien n’est à jour.

Aussi, nous vous proposons d’aller dans votre Google + et de taper Gîtes de Lauzanac dans la barre de recherche. Vous aurez la possibilité de laisser un avis. Ou cliquez ici Google + ce qui devrait en principe vous emmener tout droit sur notre page qui ressemblera à la photo ci-dessous.

Ah, la technique! Il va m’en falloir des heures de formation!!!

Gîtes de Lauzanac   Google

Bienvenue Lili

IMG_9801Ouf, quelle nuit! C’est qu’elle est de belle taille la petite nouvelle qui est née en plein milieu de la nuit, et nous avons dû travailler dur pour que l’accouchement – enfin, le vêlage – se passe sans dommage.

Deux jours après, tout est rentré dans l’ordre. La mère et la fille se portent bien. Nous l’avons appelée Lili. Fille de Funny Claire et de Gibraltar. Admirez la merveille emmitouflée dans la paille. Cet été, elle gambadera dans les prés. Saurez-vous la retrouver?…

La ferme de Lauzanac à l’aube de 2015

Lauzanac, un lieu paisible en Dordogne. Un bel endroit où passer ses vacances. Enfin, c’est ce que nous penserions, je crois, en voyant cette photo prise à l’aube de 2015. En tous les cas, nous renouvelons nos vœux pour cette année qui commence. Que la vie soit douce pour tous.

2015 - voeux simple

Malheureux arbre creux et d’une prairie à l’autre

L’automne, c’est le temps des semis. Nous prévoyons, en cette fin d’année, de semer de l’orge sur certaines des parcelles pour avoir du grain qui servira à faire de la farine pour les animaux et de la paille pour la litière utilisée lorsque le troupeau est dans l’étable.

Sur la parcelle que voilà, un frêne menaçait de tomber car il était creux. Il abritait cet été un essaim de frelons asiatique que nous pensions retrouver quand nous sommes arrivés avec les tronçonneuses. Mais des frelons, aucune trace. Par contre, et c’est dommage mais je n’ai pas eu le temps de faire la photo, ce sont des loirs que nous avons malheureusement dérangés. Ils se sont éparpillés dans la nature. On espère qu’ils auront trouvé un nouvel abri pour leur long sommeil d’hiver.

Revenons au frêne. Voici quelques photos de sa chute. Il était en bordure du champ et penchait du côté de la parcelle de maïs du voisin. Mais, en coupant une première branche qui aurait pu le faire dévier puis en s’aidant du tracteur et de la fourche, l’arbre est tombé exactement où Thierry l’avait prévu. Fortiche 😉

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L’automne, c’est aussi le temps où l’herbe a moins d’appétence et de toute façon commence à manquer. Nous leur donnons du foin et de l’enrubanné et les changeons souvent de prairies. Là, un essai de video … en musique … si tout va bien … lorsqu’elles passent dans le bois de la pente adossée à la ferme entre un pré et un autre.